Translate

miércoles, julio 24, 2019

(Anglais-français)


S.O.S: Save Our Spire
Viollet-le-Duc’s Gothic spire. Photo: Charles Marville, AIA/AAF Collection, Library of Congress 
                                  INSTITUTE OF 
              SACRED ARCHITECTURE
by Duncan G. Stroikappearing in Volume 35


Duncan G. Stroik is the editor of Sacred Architecture Journal.

The French people have a lot of experience in rebuilding churches. World War II, World War I, various nineteenth-century governments, the French revolution, the Huguenots and before that, the barbarian hordes, all took a toll on these heavenly palaces. Not to mention fires and damage due to the travails of time. This latest fire, watched by tens of millions on the internet, calls for the rebuilding of the roof, the spire, and part of the ceiling of Notre Dame in Paris. Other elements such as stonework, stained glass and the magnificent organ are likely to be restored.

What is turning out to be the most controversial aspect of the vaunted restoration is the spire. In 1793 the original spire of Notre Dame cathedral was mutilated and taken down by the revolutionary government. For sixty years artists recorded the grand old dame without it.

Then in the 1850s, it was redesigned and rebuilt as part of a major conservation and rebuilding of the cathedral by the influential gadfly Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc.

One hundred sixty years later the French government had erected scaffolding and was commencing to restore the spire when it perished in a horrific conflagration. There was a huge outpouring of sympathy and donations, up to $1 billion, for the cathedral.

Why would people care about a cathedral in our modern secular age? It is clearly because Notre Dame is a beloved monument, a symbol of France and one of the best-known and most visited works of architecture in the world. But even more importantly, though perhaps not consciously felt by all, Notre Dame Cathedral is a sacred place.

Sometimes the goal is to rebuild the building similar to the way it was, and at other times the goal is to rebuild it bigger and better. In the case of the Notre Dame spire (or flèche) that burned, it was a nineteenth-century replacement. Designed by Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, the preeminent Gothic architect of the nineteenth century, the spire was larger and taller than its predecessor.

Viollet’s spire was an octagonal flèche which rose 305 feet from the ground and 146 feet above the roof. According to Viollet, the wood structure weighed 550 tons and the lead covering was 275 tons.

What did Viollet do? He enlarged the spire by adding a second level to the base and stretching the central conical roof. He enlarged the base and modified the interior structure so that it could better withstand the storms that are the enemies of towers. After one such storm, Viollet verified that the spire had only moved twenty centimeters.

Interestingly, the octagonal base of the spire was rotated so that four of its corners aligned with the roof ridges. This allowed Viollet to arrange larger-than-life copper statues of apostles and evangelists above where the roofs meet. These are the sixteen statues sculpted by Victor Geoffroy-Dechaume that had already been removed for restoration when the fire struck. The statues stepped up the roof toward the base of the octagon with its columnar buttresses.

Beyond the buttresses, eight gothic arches with tracery like the windows of the nave supported a first level. A second level with smaller arches supported gables with tracery and gargoyle downspouts. The corner buttresses held pinnacles which are like miniatures of the central spire.

This conical spire was beautifully ornamented with hundreds of croqs or crockets on its ridges which soared ninety-five feet up in the air. On top there was a large cross with a weather-vane rooster containing relics: a thorn from Christ’s crown of thorns and relics of Saint Denis and Saint Genevieve, patron saints of Paris.

So why not replace Viollet’s spire with something new and improved? If the purpose is to do something that contrasts with the cathedral, a modernist spire will succeed. If the purpose is to be taller or made out of modern materials, many architects would be only too happy to oblige.

But what if the requirement is to do something better than Viollet, something more beautiful than the iconic spire at the crossing of one of the most well-known churches in the world? Using the Gothic language, that would be difficult to achieve. Nothing Gothic on this scale has been done since the completion of the National Cathedral in Washington, D.C., in 1988, and there are few architects adept at its syntax.

If that were the goal, it would disqualify all of the designs heretofore proposed. Of course it is conceivable that someone could design a new spire more beautiful than Viollet’s, but why should we even consider it?

The only criticism of Viollet’s spire I have heard so far is that it wasn’t original. Its youth, only 160 years old, is not a sin or a reason to replace it as if it were a nonfunctioning plumbing fixture. Unless someone can convince Parisians that Viollet’s spire was not in keeping with the cathedral’s architecture, had some functional structural flaw, or was ugly, then why not rebuild Viollet’s spire in all its Gothic glory?

Duncan G. Stroik

S.O.S: Sauve notre flèche
                                  INSTITUTE OF 
              SACRED ARCHITECTURE
par Duncan G. Stroikappearing in Volume 35

Les Français ont beaucoup d'expérience dans la reconstruction d'églises. La Seconde Guerre mondiale, la Première Guerre mondiale, divers gouvernements du XIXe siècle, la révolution française, les huguenots et, avant cela, les hordes barbares, ont tous sonné le glas de ces palais paradisiaques. Sans parler des incendies et des dégâts dus au temps qui passe. Ce dernier incendie, observé par des dizaines de millions de personnes sur Internet, appelle à la reconstruction du toit, de la flèche et d'une partie du plafond de Notre Dame à Paris. D'autres éléments tels que la pierre, les vitraux et le magnifique orgue sont susceptibles d'être restaurés.

Ce qui s’avère être l’aspect le plus controversé de la restauration vantée est la flèche. En 1793, le clocher original de la cathédrale Notre-Dame fut mutilé et détruit par le gouvernement révolutionnaire. Pendant soixante ans, les artistes ont enregistré la grande vieille dame sans elle.

Puis, dans les années 1850, il fut repensé et reconstruit dans le cadre d'une importante opération de conservation et de reconstruction de la cathédrale par l'influent gadget Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc.

Cent soixante ans plus tard, le gouvernement français avait érigé un échafaudage et commençait à restaurer la flèche après sa mort dans une terrible conflagration. Il y a eu un élan de sympathie et de dons allant jusqu'à 1 milliard de dollars pour la cathédrale.

Pourquoi les gens se soucient-ils d'une cathédrale à notre époque laïque moderne? Il est clair que Notre-Dame est un monument aimé, un symbole de la France et l’une des œuvres d’architecture les plus connues et les plus visitées au monde. Mais plus important encore, bien que peut-être pas consciemment ressenti par tous, la cathédrale Notre-Dame est un lieu sacré.

Parfois, l’objectif est de reconstruire le bâtiment de la même manière qu’il était, et d’autres fois, l’objectif est de le reconstruire plus grand et mieux. Dans le cas de la flèche Notre Dame (ou flèche) qui a brûlé, il s'agissait d'un remplacement du XIXe siècle. Conçu par Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, le plus grand architecte gothique du XIXe siècle, la flèche était plus grande et plus haute que son prédécesseur.

La flèche de Viollet était une flèche octogonale qui s'élevait à 305 pieds du sol et à 146 pieds au-dessus du toit. Selon Viollet, la structure en bois pesait 550 tonnes et la couverture en plomb était de 275 tonnes.

Qu'a fait Viollet? Il élargit la flèche en ajoutant un deuxième niveau à la base et en étirant le toit conique central. Il agrandit la base et modifia la structure intérieure afin qu'elle puisse mieux résister aux tempêtes qui sont les ennemis des tours. Après une telle tempête, Viollet a vérifié que la flèche n’avait bougé que de vingt centimètres.

Fait intéressant, la base octogonale de la flèche a été tournée de sorte que quatre de ses coins soient alignés avec les arêtes du toit. Cela a permis à Viollet d'organiser des statues d'apôtres et d'évangélistes plus grandes que nature en cuivre, là où les toits se rejoignent. Ce sont les seize statues sculptées par Victor Geoffroy-Dechaume qui avaient déjà été enlevées pour être restaurées lorsque l'incendie a éclaté. Les statues montèrent le toit vers la base de l'octogone avec ses contreforts en colonnes.

Au-delà des contreforts, huit arches gothiques avec des entrelacs ressemblant aux fenêtres de la nef soutenaient un premier niveau. Un deuxième niveau avec des arches plus petites supportait des pignons avec des tuyaux de descente et des gargouilles. Les contreforts d'angle maintenaient des pinacles qui ressemblent à des miniatures de la flèche centrale.

Cette flèche conique était magnifiquement ornée de centaines de crochets ou de crocs sur ses crêtes qui s'élevaient à 90 mètres dans les airs. Au sommet se trouvait une grande croix avec un coq à girouette contenant des reliques: une épine de la couronne d’épines du Christ et des reliques de saint Denis et de sainte Geneviève, protectrices de Paris.

Alors, pourquoi ne pas remplacer la flèche de Viollet par quelque chose de nouveau et d’amélioré? Si le but est de faire quelque chose qui contraste avec la cathédrale, une flèche moderniste réussira. Si le but est d'être plus grand ou fabriqué avec des matériaux modernes, de nombreux architectes ne seraient que trop heureux de les obliger.

Mais que se passe-t-il si l'exigence est de faire quelque chose de mieux que Viollet, quelque chose de plus beau que la flèche emblématique du croisement de l'une des églises les plus connues du monde? En utilisant le langage gothique, ce serait difficile à réaliser. Aucune œuvre gothique de cette envergure n'a été réalisée depuis l'achèvement de la cathédrale nationale à Washington, DC en 1988, et peu d'architectes sont adeptes de sa syntaxe.

Si tel était le but, toutes les conceptions proposées jusqu'alors seraient disqualifiées. Bien sûr, il est concevable que quelqu'un puisse concevoir une nouvelle flèche plus belle que celle de Viollet, mais pourquoi devrions-nous même l’envisager?

La seule critique que j’ai entendue jusqu’à présent à propos de la flèche de Viollet est qu’elle n’était pas originale. Sa jeunesse, âgée de 160 ans à peine, n’est pas un péché ni une raison de la remplacer comme s’il s’agissait d’un appareil de plomberie inutilisable. À moins que quelqu'un ne puisse convaincre les Parisiens que la flèche de Viollet n'était pas en harmonie avec l'architecture de la cathédrale, qu'elle présentait un défaut structurel fonctionnel ou qu'elle était laide, pourquoi ne pas reconstruire la flèche de Viollet dans toute sa splendeur gothique?


Duncan G. Stroik

domingo, julio 14, 2019

(PAS DE TRADUCTION DIRECTE)


FRANCE

                                             14 JUILLET

                                      CONCERT DE PARIS 2019

                


   Le Concert de Paris is an exceptional event held every year on Bastille Day at the foot of the Eiffel Tower, as a prelude to the July 14th fireworks display.

 Pour la septième années consécutive France offre aux français et aux téléspectateurs, un spectacle grandiose de musique classique à l'occasion de la fête nationale... 

  Sous la tour d’Eiffel un scénario translucide avec l’Orchestre national de France, le Choeur de Radio France et avec des grand interpretes du monde, la Musique de plus grands maîtres de la musique. 
  Images des Champ-de-Mars, remplis de parisiens et étrangères avec visions aériennes de Paris avec la tour d’Eiffel dans la soirée et dans la nuit, avec lune pleine... 
  pour finir avec un spectacle de  pyrotechnie et musique populair de 40min. 

    Une Grand soirée à remercier!

© © Bernard BARBEREAU

(INFO)

500.000 spectateurs, en moyenne, se réunissent chaque année, depuis 2013, aux pieds de la tour Eiffel sur le Champ-de-Mars, pour ce concert connu pour être le plus grand événement de musique classique au monde.

Plus de dix pays peuvent suivre ce concert, retransmis en direct et en simultané par l’UER-Eurovision. Pour l’édition 2018, 2,652 millions de Français étaient présents devant leur écran. Et une dizaine de millions en Europe.



                                               ***





martes, julio 02, 2019




 S JE SUIS CAROLA! 

                     YO SOY CAROLA!
           
                                             I AM CAROLA!




       .........    ..........     .........  ......... ........ ahhh....
                                          

viernes, junio 21, 2019


   JOUR DE LA MUSIQUE  DIA DE LA MUSICA



  Dans le jour de la Musique je remercie infiniment l’immense joie qui donne le langage musical. Tout les jours
trouver la vibration émotionnel, syntonie que exalte, éveille, apaise, fait rêver, élever, transporter; 
le miracle de l’univers musical des sphères qui fait voyager à travers le temps, mondes, sons qui transpercent nos sens, le corps des planètes, des êtres qui dansent nus dans l’éther chantant à la vie, l’amour, la joie, l’union.
  En el dia de la Música yo agradezco infinitamente l’inmensa alegría que da el lenguaje musical. Todos los días encontrar la vibración emocional, sintonía que exalta, despierta, calma, transporta, hace soñar, elevar; el milagro del universo musical de las esferas que hace viajar a través de los tiempos, mundos, sonidos que atraviesan nos sentidos, el cuerpo de los planetas, de los seres  desnudos que danzan en el éter cantando a la vida, al amor, la alegría, la union. 

  Béni soit la musique des mondes qui nous entourent, de la terre avec ses éléments, royaumes; l’eau, le tonnerre, le vent, le feuillage, le chants des oiseaux, le murmure de l’ange, le silencieux souvenir.
  Bendito sea la musica de los mundos que nos rodean, la tierra y sus elementos, reinos; el agua, el trueno, el viento, la hojas, el canto de los pájaros, el susurro del angel, el silencioso recuerdo.

 Bénis soient-il tous ceux qui contribuent à la transmission du chant humain, choeurs d’enfants, d’adultes, les magnifiques instrument musicaux capables de nous plonger dans tous les rêves et réalités..
  Bendito sean todos aquellos que contribuyen a la transmisión del canto humano, coros de niños, adultos, los magníficos instrumentos musicales capaces de sumergirnos en todos los sueños y realidades.







La Musique 
         c’est l’harmonie du Verbe…
                     vibration de la Création…



        La Musica                       
                      es armonia del Verbo…
                                      vibración de la Creación…

                                                ***

Search Results

Web results

Nov 5, 2011 - Uploaded by Marino van Wakeren
0:00. 4:26. 0:00 / 4:26. Live ... Mood.Peer Gynt.Grieg.begins with nature sounds Edited by M


Elgodiv

viernes, mayo 31, 2019


OPINION


    Face aux risques d’effacement des signes-phares intemporels de l’architecture sacré Occidental, c’est intéressant essayer de décoder, lire anciens murs des géniaux «Banksys»; images d’art et symboles qui  peuvent aider à déchiffrer nos racines culturels-spirituel d’ou nous venons.
   Rien de mieux de laisser la parole à tout ceux qu’il peuvent contribuer à ouvrir et révéler nos sources…. 

   Frente a los riesgos de la perdida de los signos- faros intemporales de la arquitectura sagrada Occidental, es interesante tratar de descifrar, leer antiguos muros de los geniales « Banksys » ; imágenes artistiques y símbolos que pueden ayudar a descifrar nuestras raíces culturales-espirituales de donde venimos.
 Nada mejor que dejar la palabra a todos aquellos que pueden contribuir a abrir y revelar nuestras fuentes… 



 ‘Banksy*': genial et dramatique témoignage éphemère d'une époque...
* Blog elgodiv: Galerie

La tiare, l'aigle bicéphale et la toison d'or : une trilogie européenne ?
  Assistant récemment à un office religieux dans la collégiale Sainte-Waudru de Mons en Belgique, mon attention fut soudain attirée par la verrière sommitale du choeur de l'édifice fusionnant symboliquement en son sein la quintessence du pouvoir politique et religieux sous l'autorité duquel le lieu était placé.



            La collégiale Sainte-Waudru de Mons


  Observant les trois motifs héraldiques superposés à l'intérieur du fenestrage gothique, j'y reconnus bientôt les symboles de souveraineté hiérarchisés des différents ensembles dont relevait alors l'ancienne capitale du comté de Hainaut : la tiare, l'aigle bicéphale et la toison d'or. Et me vint aussitôt à l'esprit que ceux-ci étaient la métaphore de ce que pourraient être les différents niveaux d'appartenance et d'identité de l'actuelle Union européenne dans sa future communauté de destin politique et spirituel.

  La "tiare", c'est bien entendu Rome et la papauté, autorités morales et universelles ("catholiques", au sens étymologique du terme) marquant le niveau de pouvoir spirituel au-delà et au-dessus du champ des responsabilités terrestres. L'aigle bicéphale noir sur fond or pour l'Empire ou, plus exactement, le Saint Empire romain germanique - héritier de l'Empire romain d'Occident disparu en l'an 476 de notre ère alors que lui succédait à l'Orient Byzance-Constantinople qui possédait le même emblème - dirigé par Philippe le Beau à l'époque où furent installés les vitraux de la collégiale hennuyère.


Philippe le Beau était le fils de la duchesse Marie de Bourgogne - elle-même fille de Charles le Téméraire - et de l'empereur Maximilien de Habsbourg. Uni à Jeanne la Folle, reine d'Espagne et fille des "rois catholiques", son propre fils, le futur Charles Quint né à Gand, héritera grâce à ces alliances du plus grand apanage politique jamais conçu en Europe depuis la chute de Rome : Autriche, Allemagne, Pays-Bas, sud de l'Italie, Espagne et Amériques... la légende dit justement que le soleil "ne se couchait jamais" sur ses possessions universelles !
  Le "Toison d'or" enfin, et le merveilleux imaginaire chevaleresque qui l'accompagne, symbole mythologique de l'espace bourguignon s'identifiant à ce moment aux anciens Pays-Bas (les dix-sept provinces) plus une partie du territoire de la France, premier espace politique important dont dépendaient la ville de Mons et le comté de Hainaut alors uni à la Flandre. Au moment où l'Europe se cherche plus que jamais des repères symboliques d'identité culturelle et de claires limites d'appartenance politique ou géographique, tiraillée entre la notion d'Etats-Unis-empire européen centralisé (aujourd'hui "Bruxelles") et les nations souveraines, voire même les régions historiques, qui la composent, ces trois jalons de pouvoir ne pourraient-ils pas servir de référence ?
   La tiare, c'est bien entendu la chrétienté, trait d'union traditionnel - à la fois d'ordre moral et religieux - entre l'immense majorité des peuples souverains qui composent le vieux continent, dans son élan mystique de coeur et d'esprit tempéré par la raison gréco-latine qui fonde son humanisme lucide et intégral.

L'aigle impérial bicéphale, c'est l'Union renforcée et solidaire des États de l'Europe, d'est en ouest (sens original du dédoublement symbolique de la tête) et du nord au sud, sans laquelle nous ne pourrons faire face aux superpuissances qui l'environnent et l'observent de part et d'autre avec des yeux de prédateur.  La toison d'or enfin, c'est le niveau de proximité des peuples par excellence, celui où peuvent s'exprimer le plus librement les cultures autochtones dans leur communauté de langue, de moeurs ou de coutumes, sans renier toutefois la transcendance de leurs particularités au profit d'un idéal supérieur d'intérêt collectif qui les dépasse tout en les intégrant. Ce n'est qu'à ce prix que l'Europe redeviendra un rêve et un modèle dans la couronne d'étoiles étincelantes qui constellent son drapeau azuré comme le firmament.

Jean-Pierre De Rycke : Docteur en Histoire de l’art 
Ancien conservateur du musée des Beaux-Arts de Tournai.


LA TIARA, EL ÁGUILA BICÉFALA Y EL TOISÓN DE ORO: ¿UNA TRILOGÍA EUROPEA?

 Asistiendo recientemente a un oficio religioso en la colegiata de Sainte-Waudru de Mons, en Bélgica, mi atención se centró de pronto en la vidriera cenital del coro del edificio, que fusiona simbólicamente la quintaesencia del poder político y religioso bajo cuya autoridad se situaba el lugar. 
 Al observar los tres motivos heráldicos superpuestos en el interior del ventanal gótico, reconocí rápidamente los símbolos de soberanía jerarquizados de los diferentes conjuntos que se encontraban bajo la jurisdicción de la antigua capital del condado del Hainaut: la tiara, el águila bicéfala y el Toisón de oro, y de inmediato se me ocurrió que estos eran la metáfora de lo que podrían ser los diferentes niveles de pertenencia y de identidad de la actual Unión Europea en su futuro destino político y espiritual. 
 La tiara es, claro está, Roma y el papado, autoridades morales y universales ―“católicas”, en el sentido etimológico del término― que señalan el poder espiritual más allá del campo de las responsabilidades terrenales. 
 El águila bicéfala negra sobre fondo de oro representa el Imperio, y más exactamente, el Sacro Imperio Romano Germánico, heredero del Imperio Romano de Occidente, desparecido en el año 476 d.C. y sucedido por el Imperio Romano de Oriente, que poseía el mismo emblema.
 En el momento en el que las vidrieras de la colegiata de Mons fueron instaladas, el Sacro Imperio era gobernado por Felipe el Hermoso, hijo de la duquesa María de Borgoña y del emperador Maximiliano de Habsburgo. Casado con Juana la Loca, reina de España e hija de los Reyes Católicos, su hijo, el futuro Carlos V, nacido en Gante, heredará gracias a sus alianzas el mayor territorio político jamás concebido en Europa tras la caída de Roma: Austria, Alemania, los Países Bajos, el sur de Italia, España y las Américas. No en vano, cuenta la leyenda que en su reino “nunca se ponía el sol”. 
 Finalmente, el Toisón de Oro y el maravilloso imaginario caballeresco que lo acompaña, símbolo mitológico del espacio borgoñón, que se identificaba en ese momento con los antiguos Países Bajos (las diecisiete provincias) y una parte del territorio de Francia, primer espacio político importante del que dependían la ciudad de Mons y el condado del Hainaut, entonces unido a Flandes. 
  En el momento en el que Europa busca más que nunca referencias simbólicas de identidad cultural y límites de pertenencia política o geográfica, debatiéndose entre la noción de un imperio europeo centralizado ―simbolizado hoy día por Bruselas― y las naciones soberanas (o incluso las regiones históricas) que la componen, estos tres jalones de poder podrían tal vez servir de referencia. 
 La tiara simboliza la cristiandad, nexo tradicional de la inmensa mayoría de los pueblos soberanos que componen el viejo continente en su impulso místico de corazón y de espíritu templado por la razón grecolatina que funda su humanismo lúcido e integral. 
  El águila imperial bicéfala es la unión reforzada y solidaria de los Estados de Europa, del Este al Oeste ―sentido original del desdoblamiento simbólico de la cabeza― y del Norte al Sur, sin la cual no podríamos hacer frente a las superpotencias que la circundan y que la observan con ojos de predador. 
Y el Toisón de oro es, finalmente, el nivel de proximidad de los pueblos por excelencia, aquel en el que pueden expresarse con más libertad las culturas autóctonas en su comunidad lingüística, de hábitos o costumbres, sin negar la trascendencia de sus particularidades para beneficio de un ideal superior de interés colectivo que las sobrepasa y las integra al mismo tiempo. 
Solo de este modo Europa se convertirá en un sueño y un modelo en la corona de estrellas resplandecientes que constelan su bandera, azul como el firmamento. 

Jean-Pierre De Rycke
Doctor en Historia del Arte
Antiguo conservador del Museo de Bellas Artes de Tournai


sábado, mayo 25, 2019

WHO IS WHO  
                    
                    

                      UNION & DIVISION


  UNIR c’est une condition qui demande permanent attention, application, renouvellement, actualisation, réceptivité, ouverture aux changements,  capacité de permanent intégration, empathie humaine, partage et solidarité, Valeurs positifs pas susceptibles d’êtres manipulés!  
  C’est le plus difficile toujours à réaliser parce qu’il demande le pouvoir de la maîtrise de soi même et de l’AMOUR.
   Les plus grands êtres humains de la terre, ils le sont en raison des grands UNIONS régionaux, politiques mondiaux réalisés, et des VALEURS spirituels conquis.  

  UNION C’EST LA VOLONTÉ ET L’ESPOIR DE LA CONSTRUCTION HUMAINE INDIVIDUEL ET COLLECTIVE DANS LA TERRE!


  DIVISER c’est toujours le plus facile à faire, car c’est une réaction mécanique, destructive, motif qui a mené à l’humanité à des retardements évolutifs épouvantables…pas jamais assez reconnu de notre histoire!
  Cela parce que la haine, l’ignorance spirituel et tous les ingrédients qui l’accompagnent, sont produit de l’inconscient, de la volonté mécanique (armes de destruction) qui n’a pas de discernement, mais seul de la concurrence vers le pouvoir et la manipulation psychologique massive, aujourd’hui impressionnant à travers les nouvelles technologies!
   Il faut se rappeler, anciennement la devise des rois du pouvoir destructive c’été, « DIVISER pour triompher »!

   Eveille vous! 
 DIVISER est un propos infra-humain appliqué pour DOMINER ET DÉTRUIRE LES ÊTRES HUMAINS ET LA TERRE!



QUIEN ES QUIEN


                    UNION & DIVISION

  UNIR es una condición que requiere atención constante, aplicación, renovación, actualización, receptividad, apertura al cambio, capacidad de integración permanente, empatía humana, compartir y solidaridad, ¡valores positivos no susceptibles des ser manipulados!
  Es lo más difícil de hacer porque exige el poder del autocontrol y AMOR

   Los más grandes seres humanos de la tierra lo son en razón de las grandes UNIONES regionales, políticas mundiales realizadas y VALORES espirituales conquistados.

  UNIÓN ES LA VOLUNTAD Y LA ESPERANZA DE LA CONSTRUCCIÓN HUMANA INDIVIDUAL Y COLECTIVA EN LA TIERRA!


  DIVIDIR siempre es lo más fácil de hacer, porque es una reacción mecánica, motivo que ha llevado a la humanidad a horrendos retrasos evolutivos ... ¡no lo suficientemente reconocido de nuestra historia!
  Esto se debe a que el odio, la ignorancia espiritual y todos los ingredientes que vienen con él, se producen a partir del inconsciente, la voluntad mecánica (armas de destrucción) sin discernimiento,  solo de la competencia hacia el poder y la manipulación psicológica masiva, hoy impresionante a través de las nuevas tecnologías!
   Hay que recordar, antiguamente el lema de los reyes del poder destructivo  era: "¡DIVIDIR para triunfar"!

   Despertemos!
 ¡DIVIDIR es un proposito infrahumano aplicado para DOMINAR Y DESTRUIR LOS SERES HUMANOS Y LA TIERRA!





Elgodiv