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martes, septiembre 25, 2018



LE TROC

   Le troc comme système d’échange à l’époque actuel est une alternative très important à considérer!

  Il faut voir; dans le troc on partage des richesses, on est tous riches, avec différents besoins; il y a des marchandises et il y a des services humains. 
Aujourd’hui il y a une sur- exploitation du service humain, chaque fois moins valoré et humilliant, à cause d’une société chaque fois plus mécanisée. Ainsi si on change pas de regard sociétal, on est destinée à la robotisation, l’esclavage et la pauvreté systémique, provoqué, crée ignoblement de toute part, dans l’actuel évolution. C’est un choix à considérer.

Le système de troc va devenir une besoin humaine d’urgence où il faut intégrer valeurs éthiques, où l’humaine, le regard vers l’autre, comme un égal, reprend la place. Finis le chantage et la peur, à change du sourire et lamour dans le monde!

Ainsi, l’illusion de l’argent, s’écroule comme un château de sable… un mauvais rêve...

   Le troc c’est le choix d’entrer dans le nouveau paradigme humaine comme système d’échange;  c’est le début d’un nouveau temps avec nouvelles lois…créatricesrévélatrices, étonnants; où la synchronie est assumée consciemment comme la reconnaissance, l’approbation du rencontre sacrée, sous l’émotion d’un regard consciente et plus éveillée.

Là on laisse agir la nature en nous, on la découvre en toute humilité et RESPECT….



elgodiv

viernes, septiembre 21, 2018


Encore une fois (et toujours...)

LE MUR
d’existence surréel, les murs construit pour tous, il existent par la haine mais il n’existent pas pour l’amour....
 En Chili on l’oublie pas...! 

La muralla - Quilapayún - Inti Illimani histórico

- YouTube

Para hacer esta muralla,  Pour faire ce mur tráiganme todas las manos  apportent moi toutes les mains los negros, sus manos negras  les noirs, ses mains noirs
los blancos, sus blancas manos  les blancs ses blancs mains Una muralla que vaya  Un mur qui vas
desde la playa hasta el monte  dès la plage jusqu’au mont desde el monte hasta la playa,  dès le mont jusqu’a la plage allá sobre el horizonte.  là sur l'horizon —¡Tun, tun!  - Tun Tun! —¿Quién es?  C’est qui? —Una rosa y un clavel...  - Une rose et un oeillet... —¡Abre la muralla!  Ouvre le mur! —¡Tun, tun!  - Tun tun!
—¿Quién es?  C’est qui? —El sable del coronel...  - Le sabre du colonel... —¡Cierra la muralla!  Ferme le mur! —¡Tun, tun!  - Tun, tun! —¿Quién es?  C’est qui? —La paloma y el laurel...  - La colombe et la laurier... —¡Abre la muralla!  Ouvre le mur! —¡Tun, tun!  - Tun, tun! —¿Quién es?  C’est qui? —El gusano y el ciempiés...  -Le ver et le mille-pattes... —¡Cierra la muralla!  Ferme le mur! Al corazón del amigo:  Au coeur de l’ami: abre la muralla!  ouvre le mur! al veneno y al puñal:  au venin et le poignard; cierra la muralla!  ferme le mur! al mirto y la yerbabuena:  au myrte et la menthe; abre la muralla!  ouvre le mur! al diente de la serpiente:  au dent de la serpent; cierra la muralla!  ferme la mur! al corazón del amigo:  au coeur de l’ami; abre la muralla!  ouvre le mur! al ruiseñor y la flor…  au rossignol et la fleur... abre la muralla! ouvre le mur!
Alcemos esta muralla  bis... juntando todas las manos;  los negros, sus manos negras  los blancos, sus blancas manos.  Una muralla que vaya  desde la playa hasta el monte  desde el monte hasta la playa,  allá sobre el horizonte.  Al corazón del amigo:  abre la muralla;  al veneno y al puñal:  cierra la muralla;  al mirto y la yerbabuena:  abre la muralla;  al diente de la serpiente:  cierra la muralla;  al corazón del amigo:  abre la muralla;  al ruiseñor en la flor…ABRE LA MURALLA!


Letra: Nicolàs Guillén

                                                                           ***

viernes, septiembre 07, 2018





  ÊTRE ET PARAÎTRE 

 On est dans une culture où l’image du succès est le but qu’on veut réaliser pour n’importe quel moyens.  Et la peur à l’échec ainsi devienne une fixation culturel attachée, produit de ce besoin de succès, cause des plus grands mythomanies humaines: dès les jeunes terroristes militants de l’état islamique, le cynique mythomane qu’il se déguise en n’importe quoi pour « paraître» face aux proies, du même que le provocateur exhibitionniste, tel q'un dictateur in extremis.. aveugle de pouvoir.

  Aujourd’hui l’être humain s’invente, recréant l’image externe qu’il désire être... se niant de manière impitoyable de ce qu’il est internement; il a peur de soi même. C’est un acteur qu’il ne joue jamais son vraie rôle, donc il s’ennuie terriblement, malgré la mutabilité des engagements, dans la recherche aveugle du sens..

  C'est pourquoi la violence, les blocages, les dérives personnels et vengeance, niant ce qu’on peut pas posséder, ce qu’il n’est lui appartienne pas, jusqu’a sa persécution et mort parfois avec le propre suicide-sacrifice.
   On veut isoler, diminuer, sinon tuer ce qu’il est et empêche la propre identité, la sécurité...ce qu’on aime. Et s’il veut le sacrifier, c’est par impuissance d’être vraiment, l'unique façon qu’il trouve de posséder l’amour qu’il ne tienne pas, sa liberté.

   Dans le temps de construire un nouveau monde, ce réalité il est bien là... comme une cruel blague, cauchemar qu'il se moque des beaux rêves des réalités supérieurs qu’il nous attend.
  Cauchemars et troubles pourtant qu’il faut inévitablement regarder... essayer de comprendre, parce que présents comme un cris désespérée de quelqu’un qu’il veut être heureux, mais il ne sait pas comme.        Pourtant il suffi de lâcher prise, en assumant la peur du néant... le vide...vid, vie, qui porte le vide féconde, qui peut nous répondre..

    Construire pas dans le but de triompher...sinon d’être heureux dans la création et l’acceptation de soi même. L’humilité de notre propre échec face à l’immensité de l'univers...  
    Là, regardant simplement le néant, le ciel, un oiseaux, écoutant une musique lointaine qui s’approche tout doucement.. dans le mouvement de l’eau plein des reflets... 
    Il est là, tout ce qu’on peut posséder, dans le silence interne... dans la fusion de se communiquer... dans la présence d’être un avec notre nature...en écoutant son reflet en nous mêmes
    l’echo de l’être d’où tout commence...


   SER Y PARECER

  Estamos en una cultura donde la imagen del éxito es el objetivo que se quiere tener por no importa qué medios. Y el miedo al fracaso así deviene una fijación cultural integrada, producto de esta necesidad de éxito, causa de las mayores mitomanías humanas: desde los jóvenes terroristas militantes del estado islámico, el cínico mitómano que se disfraza no importa como para « parecer » frente a las presas, lo mismo que el provocador exhibicionista, como un dictador in extremis…ciego de poder.

   Hoy dia el ser humano se inventa, recreando la imagen externa que él desea ser… negándose de manera despiadada lo que él es internamente; el tiene miedo de si mismo. Es un actor que no actúa jamás su verdadero rol, entonces se aburre terriblemente, a pesar la mutabilidad de sus compromisos, en la búsqueda ciega de sentido…

  Es la razón de la violencia, los bloqueos, las derivas personales y venganza, negando lo que no se puede poseer, lo que no es propio, hasta su persecución y muerte a veces con el propio suicidio-sacrificio.
   Se quiere aislar, disminuir, sino matar lo que es e impide la propia identidad, la seguridad…lo que se ama. Y si él quiere sacrificarlo, es por impotencia de ser verdaderamente, la única manera que él encuentra de poseer el amor que no tiene, su libertad.

   En el tiempo de construir un nuevo mundo, esta realidad está bien allí…como una cruel broma, pesadilla que se burla de los bellos sueños de realidades superiores que nos espera.
   Pesadillas y trastornos sin embargo que es necesario inévitablement mirar… tratar de comprender, presentes como un grito desesperado de alguien que quiere ser feliz, pero no sabe como. Sin embargo es suficiente soltar, asumiendo el miedo del abismo…el vacío…vid, vida, que trae el vacío fecundo, que puede respondernos…

  Construir no con objetivo de triunfar…sino de ser feliz en la creación y aceptación de si mismo. La humildad de nuestro propio fracaso frente a la inmensidad del universo…
  Allí, mirando simplemente el vacío, el cielo, un pájaro, escuchando una música lejana que se acerca suavemente…en el movimiento del agua llena de reflejos…
   Allí está, todo lo que podemos poseer, en el silencio interno…en la fusion de comunicarse…
en la presencia de ser uno con la naturaleza…escuchando su reflejo en nosotros mismos
   el eco del ser donde todo comienza…



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