OPINION
(traduction elgodiv)
NOMINATION EN LA ONU
Il semblerait inévitable que toute déclaration future de l’ancienne présidente sur les questions de droits humains à l’échelle locale se prête à des lectures politiques.
Il est une reconnaissance pour le pays que le Secrétaire général de l'ONU a décidé de proposer à l'ancienne présidente Michelle Bachelet à s’en occuper devant le Haut-Commissariat aux Droits Humains, l'un des instances les plus importants de cet organisme et à charge des sujets critiques.
Confirmée cette nomination, ratifié par l’Assemblée, l’ascendant dont jouisse l'ancienne présidente et son spéciale syntonie avec les thèmes et acteurs des institutions internationales, où elle a déjà avant occupé une place détaché en tant que directeur de l'ONU Femmes. Les Statuts des Nations Unies imposent à son personnel devoirs d'indépendance et d'impartialité incompatible avec une action politique actif, rendant le contrôle de celui-ci au critère et discrétion du Secrétaire général lui-même; Il ne fait aucun doute que l’ancienne présidente saura se conformer pleinement à ces dispositions, en évitant les déclarations inappropriées. Cependant, dans le cas de ceux qui viennent de diriger un gouvernement, cette désignation a inévitablement une portée politique qui ne peut être ignorée.
Bien sûr, l'expérience antérieur de Bachelet en ONU Femmes, illustre comment vivant à l'extérieur du pays et complètement dédiée à ses obligations internationales, sa figure a également contribué à la discussion interne chilienne. De plus, il est probable que son absence a renforcé le rôle joué par l'équipe qui a travaillé en Santiago dans la construction de la fondation de sa deuxième candidature et son retour à La Moneda, en optant pour un programme radical, dont son exécution disciplinée a provoqué une crise politique et sortie plus tard du gouvernement de ceux qui avaient précisément conduit cette "pré-campagne". Il n’est pas évident qu’aujourd’hui - ayant terminé Bachelet sa deuxième présidence avec une popularité réduite-cela pourrait se répéter; malgré tout, le poids de son leadership dans une partie de la gauche reste irréfutable. En outre, l'ancien président Bachelet vient d'ouvrir une fondation dédiée à des thèmes qui le sont proches et dont l'influence dans le maintien de son héritage peut être décisive pour le secteur.
La nature des responsabilités qu'il assumerait à l'ONU, en revanche, est particulièrement délicate. Le Haut Commissaire a joué un rôle important dans la dénonciation des violations graves des droits de l'homme au Venezuela ou remettre en question la séparation des familles répudié de la politique d'immigration de Donald Trump, mais également il a eu interventions controversées.
En ce qui concerne notre propre pays, l'actuel chef de l'organisme a fait des opinions sévères et injustes sur la situation en Araucanie, accusant le gouvernement chilien d '«usage excessif de la force » contre la population indigène; L'année dernière, la même entité avait publié une déclaration dans laquelle différents rapporteurs de l'ONU avaient demandé de ne pas appliquer la loi antiterroriste dans ce contexte.
On pourrait attendre que l'ancienne présidente chilienne puisse fournir une vision plus équilibrée en ce qui concerne cette question, étant donné que leur propre gouvernement a dû recourir à une telle législation; cependant, il semble inévitable que toute déclaration de celle-ci sur les questions locales, puisse donner, même contre leur gré, des lectures politiques et même des controverses avec l'administration actuelle. Surtout quand les questions de droits humains impliquent souvent des questions impliquant l'État et ses autorités.
Malheureusement, le prestige de l'ONU a été minée par l'inefficacité d'un grand nombre de leurs actions contre la crise internationale, dans le biais qui a marqué les agendas des certaines de ses organismes et par actions malheureuses des certains des ses hauts fonctionnaires (il suffit de rappeler, par exemple, les élogieuses mots de la secrétaire exécutif de la CEPALC concernant la dictature cubaine). De même, on peut supposer que, dans une décision aussi cruciale, le Secrétaire général a bien pesé toutes ces considérations.
Editorial EMOL
Santiago, Jeudi 09 de Août 2018
NOMINATION EN LA ONU
Parecería inevitable que cualquier futuro pronunciamiento de la ex Presidenta sobre temáticas locales en derechos humanos se preste a lecturas políticas.
Constituye un reconocimiento para el país el hecho de que el secretario general de la ONU haya decidido proponer a la ex Presidenta Michelle Bachelet para desempeñarse al frente del Alto Comisionado para los Derechos Humanos, una de las instancias más importantes de ese organismo y a cargo de un tema crítico. Confirma esta nominación -que ahora deberá ser ratificada por la Asamblea- el ascendiente de que goza la ex Mandataria y su especial sintonía con las temáticas y actores de las instituciones internacionales, donde ya antes ocupó un cargo destacado, como directora de ONU Mujeres. Los estatutos de Naciones Unidas imponen a su personal deberes de independencia e imparcialidad incompatibles con una actuación política activa, entregando el control de ello al criterio del propio secretario general; no cabe espacio a dudas en cuanto a que la ex Presidenta sabrá dar fiel cumplimiento a esas disposiciones, evitando pronunciamientos impropios. Con todo, tratándose de quien acaba de encabezar un gobierno, esta designación tiene inevitables alcances políticos que no pueden soslayarse.
Desde luego, la experiencia anterior de Bachelet en ONU Mujeres es ilustrativa de cómo, viviendo fuera del país y abocada por completo a sus tareas internacionales, su figura fue igualmente determinante en la discusión interna chilena. Aun más, es probable que su ausencia haya potenciado el papel cumplido por el equipo que trabajó en Santiago construyendo las bases de su segunda candidatura y de su retorno a La Moneda, optando por un programa radicalizado, cuya disciplinada ejecución provocó una crisis política y la posterior salida del gobierno de quienes precisamente habían liderado esa "precampaña". No es evidente que hoy -habiendo terminado Bachelet su segunda presidencia con una popularidad menguada- aquello pudiere repetirse; aun así, el peso de su liderazgo en una parte de la izquierda sigue siendo irrefutable. Además, la ex Mandataria acaba de inaugurar una fundación dedicada a temáticas que le son cercanas y cuya influencia en la mantención de su legado puede resultar decisiva para su sector.
La naturaleza del cargo que asumiría en la ONU, por otra parte, resulta especialmente delicada. El Alto Comisionado ha desempeñado un papel importante en la denuncia de graves violaciones a los derechos humanos en Venezuela o cuestionando las repudiadas separaciones de familias de la política migratoria de Donald Trump, pero también ha tenido actuaciones controvertidas. Respecto de nuestro propio país, el actual titular del organismo ha formulado durísimas e injustas opiniones a propósito de la situación en La Araucanía, acusando al Estado chileno de un "uso excesivo de la fuerza" en contra de la población indígena; la misma entidad difundió el año pasado un comunicado en que distintos relatores ONU solicitaron no aplicar la Ley Antiterrorista en ese contexto. Cabría esperar que la ex Presidenta chilena pueda aportar una visión más equilibrada respecto de esta materia, habida cuenta de que su propio gobierno debió recurrir a dicha legislación; sin embargo, parecería inevitable que cualquier pronunciamiento de ella sobre temáticas locales se preste, aun contra su voluntad, a lecturas políticas e incluso a controversias con la actual administración. Máxime cuando los asuntos de derechos humanos suponen a menudo cuestiones que involucran al Estado y sus autoridades.
Lamentablemente, el prestigio de la ONU ha sido minado por la ineficacia de muchas de sus acciones frente a crisis internacionales, por el sesgo que ha marcado las agendas de algunos de sus organismos y por actuaciones desafortunadas de altos funcionarios (baste recordar, por ejemplo, las laudatorias palabras de la secretaria ejecutiva de la Cepal respecto de la dictadura cubana). Por lo mismo cabe suponer que, en una decisión tan crucial, el secretario general ha sopesado adecuadamente todas estas consideraciones.
Editorial- EMOL
Santiago, Jueves 09 de agosto de 2018
FELICITATIONS ET BEAUCOUP DE SUCCÈS POUR MICHÈLE BACHELET!
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La ex Présidente Michelle Bachelet avec le secretaire général de l'ONU, António Guterres. |
L’ assemblée Général de l’ONU ratifique à l’ex présidente de Chili, Michèle Bachelet, comme haute commissionnée pour les Droits Humains.
L’organisme il a approuvée par unanimité la postulation de l’ex mandataire, dont leur période commence à partir du 1 Septembre 2018.
Le secrétaire general de l’ONU, Antonio Guterrez, valore l’arrivée de Bachelet à l’organisme et détache sa trajectoire personnel et politique: «est une visionnaire, une femme de valeurs, une pionnière, elle vas être une grand leader pour ces temps difficiles. »
Le bureau de Droit Humain de l’ONU il a applaudi aussi la nomination de l’ex mandataire:
« On attend avec intérêt travailler sous son mandat pour la promotion et protection de tous les droit humains pour tous les personnes, en tout lieux ».
Ça été le même Antonio Guterrez qui avait nominée ça fait deux jours à l’ex chef d’état
Chilienne au direction du bureau de Droit Humain, charge qui assume le 1 Septembre prochain, remplaçant le prince de Jordanie Zeid Ra’ad Al Hussein. Du fait, le propre Zeid, de grand tempérament, il a célébré ce nomination:
« Je suis vraiment enchanté avec la nomination de Michelle Bachelet. Elle rejoint toutes les conditions des valeurs, passion et profond engagement avec les droit humains pour avoir succès comme Haute Commissionnée » il a indiqué.
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MICHÈLE BACHELET À L’ONU |
Fuente: Emol.com
traduction au français: elgodiv
http://www.emol.com/noticias/Nacional/2018/08/10/916544/Asamblea-General-de-la-ONU-ratifica-a-MIchelle-Bachelet-como-Alta-Comisionada-para-los-DDHH.html
La Asamblea General de la ONU ratifica a Michelle Bachelet, ex.presidente chilena, como Alta Comisionada para los DD.HH.El pleno del organismo aprobó por unanimidad la postulación de la ex Mandataria, cuya labor a cargo de la entidad se iniciará a partir del 1 de septiembre próximo.
El Secretario general de la ONU Antonio Guterres valora llegada de Bachelet al organismo: "Es una visionaria, una mujer de principios »
António Guterres, quien nominó a la ex Mandataria como Alta Comisionada para los Derechos Humanos, aseguró que ella es "una pionera y será una gran líder para estos tiempos difíciles".
AFPSANTIAGO.- El secretario general de la Organización de Naciones Unidas (ONU), António Guterres, valoró este viernes la aprobación por parte de la Asamblea General del organismo de la ex Presidenta Michelle Bachelet como Alta Comisionada para los Derechos Humanos de la entidad, destacando su trayectoria personal y política. "Estoy encantado de que la Asamblea General de Naciones Unidas haya aprobado a Michelle Bachelet como nuestra nueva jefa de Derechos Humanos", dijo Guterres en su cuenta de Twitter.
NOTICIA RELACIONADA: Asamblea General de la ONU ratifica a Michelle Bachelet como Alta Comisionada para los DD.HH.
A este mensaje se sumó el publicado en la misma red social por la Oficina de Derechos Humanos de la ONU, que también aplaudió el nombramiento de la ex Mandataria: "Esperamos con interés trabajar bajo su liderazgo por la promoción y protección de todos los derechos humanos para todas las personas, en todo lugar". Fue el propio António Guterres quien nominó hace dos días a la ex jefa de Estado chilena al mando de la Oficina de Derechos Humanos, cargo que asumirá el próximo 1 de septiembre, en reemplazo del príncipe jordano Zeid Ra'ad Al Hussein. De hecho, el propio Zeid celebró el nombramiento de su sucesora. "Estoy verdaderamente encantado con el nombramiento de Michelle Bachelet. Ella reúne todas las condiciones -valor, perseverancia, pasión y un profundo compromiso con los derechos humanos- para tener éxito como Alta Comisionada", indicó.
Fuente: Emol.com -